Elle a pratiqué le karaté Shotokan pendant 12 ans à Paris et à Montréal (1974/1986). Elle commence la pratique du taï chi style Yang en 1997 avec Josée Gagnon. Elle participe à des ateliers avec Maître Sun Fa à Paris et à Montréal. Elle enseigne la forme courte et la forme longue au YMCA du Parc à Montréal de 2003 à 2016 et dans différents contextes. Aujourd'hui elle poursuit sa pratique au quotidien.
Le corps et la psyché sont les vases communicants, par lesquels nous faisons l'expérience du vivant.
La respiration consciente, se répète et se renouvelle chaque fois qu'elle se produit. Elle accompagne et rythme le mouvement de la vie. L'impulsion se poursuit naturellement dans une trajectoire en spirale. Toute rupture d'harmonie dans le mouvement : répétition compulsive, rétraction, congestion, tension...traduit des émotions, des blocages, des structures inconscientes en action. Quand le mouvement est libre nous participons à l'équilibre du monde.
Le taï-chi en tant que «Art martial interne», nous convie à un approfondissement de notre conscience de soi, de l'autre, de notre environnement et des rapports qui les relient... Il nous permet de faire l'expérience des opposés complémentaires qui nous redonne toutes nos dimensions
Présents simultanément à l'intérieur et à l'extérieur de nous mêmes, allant de l'un à l'autre dans un rapport ludique, nous pouvons explorer le présent en choisissant nos implications, nos gestes, notre posture. Nous retrouvons notre liberté et développons nos capacités à nous relier.
La curiosité, l'ouverture, le calme, l'enracinement, la persévérance, procèdent à une présence rafraîchie au monde, renouvelant notre vitalité, notre capacité à nous émerveiller.
Le réenchantement du vivant commence par la remise en contact avec nos potentiels naturels de résilience et d'adaptation.
La respiration consciente, se répète et se renouvelle chaque fois qu'elle se produit. Elle accompagne et rythme le mouvement de la vie. L'impulsion se poursuit naturellement dans une trajectoire en spirale. Toute rupture d'harmonie dans le mouvement : répétition compulsive, rétraction, congestion, tension...traduit des émotions, des blocages, des structures inconscientes en action. Quand le mouvement est libre nous participons à l'équilibre du monde.
Le taï-chi en tant que «Art martial interne», nous convie à un approfondissement de notre conscience de soi, de l'autre, de notre environnement et des rapports qui les relient... Il nous permet de faire l'expérience des opposés complémentaires qui nous redonne toutes nos dimensions
Présents simultanément à l'intérieur et à l'extérieur de nous mêmes, allant de l'un à l'autre dans un rapport ludique, nous pouvons explorer le présent en choisissant nos implications, nos gestes, notre posture. Nous retrouvons notre liberté et développons nos capacités à nous relier.
La curiosité, l'ouverture, le calme, l'enracinement, la persévérance, procèdent à une présence rafraîchie au monde, renouvelant notre vitalité, notre capacité à nous émerveiller.
Le réenchantement du vivant commence par la remise en contact avec nos potentiels naturels de résilience et d'adaptation.
Dans l'installation de l'exposition de Graziella Malagoni au Bain Mathieu - Juillet 2014 -
L’autodiscipline accompagne les efforts de tout individu qui veut dépasser ses limites. Les exercices visent une concentration mentale et somatique, sur une tâche humble mais complexe et paradoxale. L’obligation à la précision et à la répétition détermine une manière spécifiquement personnelle de penser avec le corps entier à travers un enchaînement et une simultanéité de tensions, contrastes et immobilité dynamique.
(Eugenio Barba, L'essence du théâtre)